Description

Après avoir pratiqué les arts plastiques avec une enseignante adepte de l’esthétique positive, j’ai abandonné cette pratique pendant longtemps. Mais ma rencontre en 2010 avec la peintre Isabelle Ravet a été déterminante. Dans son Atelier Isara, j’ai acquis des techniques du trompe-l’œil. Depuis 2013, je réalise mes propres compositions que je photographie et que je reproduis ensuite en les transformant. Je me suis orientée de plus en plus vers l’hyperréalisme et en particulier les compositions en vanité à la manière de la Renaissance espagnole. Ce qui m’intéresse surtout au départ, c’est ce que je veux exprimer à travers une série de symboles. C’est le récit qui sous-tend la composition, mais c’est aussi la narration. Ce que mes toiles touchent en chacun·e, ce que chacun·e peut construire à partir de mes toiles. Loin d’être des images de mort, comme on le croit parfois, les vanités sont pour moi le rappel des principes d’humilité, de tolérance, d’égalité et d’espoir en la vie.



Biographie

J’ai toujours aimé les arts plastiques, mais les hasards de la vie m’avaient fait oublier ce projet, d’autant plus que, fille d’un écrivain et peintre assez connu de notre région (Charleroi), je n’avais pas envie de suivre ses traces ! Puis, les hasards de la vie m’ont amenée à l’atelier Isara. Sous le nom d’Amélie Haut, AmHo, j’ai participé depuis 2015 à plusieurs expositions collectives, comme en février 2022 (Intérieurs, Extérieurs) avec Dominique Jacqumart (Jado), en juin 2023 (Quatre regards) avec les peintres Jado et Muriel Jongen et la sculptrice Patricia Debaerdemacker, et très récemment (avril 2024) au Cabinet de curiosités de la Foire du livre (avec des artistes de l’atelier Isara). J’ai participé à divers salons en Belgique (les différents SAC Salon artistique de Charleroi, à Tournai, etc.), à des parcours d’artistes (surtout le parcours We Art XL) et à deux expositions individuelles, dont la dernière en janvier 2019, sous le titre Signes de vie.



Œuvres